Le temps se meurt
Je vous connais mille grâces
Et quémande votre pardon
Car mon courroux par trop d’audace
A fait chavirer ma raison
Genoux pliés comme en prière
Les yeux baissés en soumission
J’avoue mes fautes et suis peu fier
De mes propos sans concession
Accordez-moi quelques excuses
Et comprenez que ma passion
De ses envies parfois abuse
Et se complaît dans l’illusion
J’aimerai tant brûler ma peine
Sur le bûcher de mes erreurs
Crier cent fois, hurler ma haine
A ceux qui font votre malheur
Je vous sais belle dans votre corps
Je vous sais bonne dans votre cœur
Laissez-moi donc y croire encore
Car doucement mon temps se meurt
Je vous connais mille grâces
Et quémande votre pardon
Car mon courroux par trop d’audace
A fait chavirer ma raison
Genoux pliés comme en prière
Les yeux baissés en soumission
J’avoue mes fautes et suis peu fier
De mes propos sans concession
Accordez-moi quelques excuses
Et comprenez que ma passion
De ses envies parfois abuse
Et se complaît dans l’illusion
J’aimerai tant brûler ma peine
Sur le bûcher de mes erreurs
Crier cent fois, hurler ma haine
A ceux qui font votre malheur
Je vous sais belle dans votre corps
Je vous sais bonne dans votre cœur
Laissez-moi donc y croire encore
Car doucement mon temps se meurt